L'animation socioculturelle

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Plan détaillé du cours

Préalable. 1

Pour comprendre La communication sociale : 1

Lien avec le cours de Dynamique des groupes. 5

L’Intitulé du cours : Animation socioculturelle. 6

But du cours. 6

Système de côtation : 6

Introduction.. 7

Chapitre 1 : Présentation générale. 9

I.1. L’émergence d’un phénomène international (associatif et éducatif) 9

I.2. Une animation ancrées aux problématiques spécifiques. 13

I.3. Un adjectif à l’animation (socioculturelle) 15

I.4. Au-delà des activités (moyens) 17

I.5. L’ animateur socioculturel, médiateur et spécialiste de la société/culture. 19

Chap.2.: L’Animation socioculturelle : Concept complexe et pluriel. 25

II.1. Définition. 25

II.1.1. Définition étymologique. 25

II.1.2. Définition : La complexité d’un concept 26

II.1.3. Diverses dimensions de l’animation socioculturelle. 31

II.2. L’animation socioculturelle comme processus. 35

II.3. Concepts périphériques. 37

II.3.1. La culture. 37

II.3.2. L’identité culturelle. 39

II.3.3. Société (Sociale) 40

II.2.4. Socioculturel 41

II.3. Comprendre l’animation socioculturelle. 42

II.3.1. Des origines à nos jours. 42

II.3.2. Caractéristiques de l’animation socioculturelle. 43

II.3.3. Fondements et fonctions de l’animation socioculturelle. 45

Historiquement 45

Sociologiquement et culturellement 47

II.3.4. Finalité. 50

II.3.5. Champs. 52

II.4.  Méthodes en animation socioculturelle. 55

II.4.1. Méthodes pédagogiques. 56

Méthode expositive, transmissive, passive ou magistrale. 56

Méthode démonstrative. 57

Méthode interrogative ou maïeutique. 57

Méthode active ou de découverte. 57

Méthode expérientielle. 57

II.4.2. Méthodes spécifiques à l’ animation socioculturelle. 58

Les pédagogies ludiques. 60

Les pédagogies participatives. 61

L’animation non-directive des groupes. 61

Chap.3.: Les animateurs socioculturels. 63

III.1. Définition. 63

III.2. Les fonctions de l’animateur socioculturel. 64

III.3. Profession. 66

III.3.1. Champs professionnels. 66

III.3.2. Différents aspects de la professionnalité. 67

III.3.2.1. Responsabilité et entreprenariat 67

III.3.2.2. Leadership. 67

III.3.2.3. Capacité de rassembler: 68

III.3.2.4. Les activités du manager 68

III.3.2.5. Compétences requises pour l'exercice de la profession. 71

III.3.2.6. La prudence, vertu principal de l’animateur - manager 71

III.3.2.7. En guise de conclusion: 74

Chap. 4 :  Organiser un événement d’animation.. 76

IV.1. Décision du thème de l’événement. 76

IV.2. Choix des lieux. 76

IV.3. Financement des Événements. 77

IV.4. Créez un programme intéressant. 78

IV.5. Préparez une liste des personnes invitées. 79

IV.6. Marketing et publicité pour l’événement. 80

IV.7. Collaboration avec les mécènes. 81

IV.8. Gestion des personnes et collaboration avec les conférenciers. 81

IV.9. Le jour « J » : préparation, inscription, placement, retour d’informations. 82

IV.10. Exemple : un séminaire. 83

Chap. 5 : La réunion.. 87

V.1. Sortes de réunion. 88

V.2. Les phases d’une réunion. 88

V.2.1. Préparation. 88

V.2.2. La gestion. 91

V.2.3. Clôture. 93

V.3. Sept Conseils pour organiser une réunion efficace. 95

Chap.6 :  Savoir parler en public (Public speaking) 99

VI. 1. Le discours en public : logos, ethos, pathos. 99

VI. 2. Le discours oratoire. 109

VI.2.1. En résumé. 109

VI.2.2. Les trois genres rhétoriques. 111

Le genre judiciaire. 111

Le genre délibératif 111

Le genre démonstratif (ou épidictique) 112

VI.2.3. Les cinq opérations rhétoriques. 112

L'inventio ou la recherche des arguments. 112

Ø   Les arguments affectifs: l'ethos et le pathos. 113

Ø   Les arguments rationnels. 113

La dispositio ou le plan du discours. 114

Ø   L'exorde. 114

Ø   La narration. 115

Ø   La confirmation. 115

Ø   La péroraison. 115

L'elocutio ou la recherche d'un style. 115

Le style élevé. 115

Le style moyen. 115

Le style bas ou simple. 116

Actio et memoria ou l'animation du discours. 116

VI.2.4. Focus sur l’exorde et la péroraison. 117

VI.2.5. Quelques conseils pratiques. 118

Chap. 7: Gérer les présences difficiles pendant une communication.. 122

VII.1. Comment faire face. 123

VII.2.  Sortes de présences difficiles. 124

VII.2.1. Les agressifs-hostiles. 124

VII.2.2. Le Batailleur 124

VII.2.3. Le Sournois. 125

VII.2.4. Le Soupe-au-lait 125

VII.2.5. Les grincheux. 126

VII.2.6. Les taciturnes. 127

VII.2.7. Les « Super-sympas ». 129

VII.2.8. Les négatifs. 129

VII.2.9. Les « Je-sais-tout ». 130

Le Bulldozer 130

Le Frimeur 131

VII.2.10. Les indécis. 132

VII.2.11. Autres comportements difficiles au cours de réunions. 132

La personne qui n'en finit pas de parler 132

La personne qui parle à côté du sujet 133

VII.3. Conflit de personnalités. 133

Bibliographie. 134

Table des matières. 139

PREALABLE : COMMUNICATION SOCIALE, QUID ?

La communication sociale :

  • constitue un des domaines importants de la communication au sens d’une activité professionnelle;

  • recouvre des aspects forts hétéroclites mais qui ont trait, d’une manière ou d’une autre, aux interactions entre les différentes parties de la société (citoyens, collectivités, associations, syndicats, etc.);

  • a typiquement (mais pas obligatoirement) comme objet, comme mission de modifier les représentations, attitudes et comportements du destinataire face à des situations ou «sujets» d’intérêt général;

  • S’apparente régulièrement à la communication éducative, à la communication au service du développement (durable) mais aussi à la communication dite publique et politique

Communication sociale

Définition du dictionnaire Social Info, Dictionnaire suisse de Politique Sociale: «La communication sociale, au sens strict, se définit comme l'ensemble des actes de communication qui visent à modifier des représentations, des comportements ou à renforcer des solidarités. On peut distinguer  trois buts:

  • Informer sur des problèmes sociaux, afin de faire prendre conscience, de redonner du pouvoir aux individus.

  • Transmettre des valeurs pour renforcer des réseaux de solidarité.

  • Modifier des idées ou des comportements à risque pour les personnes ou la collectivité.»

La communication sociale: vise des objectifs déclarés d’intérêt général tels que :

  • la sécurité,

  • la réduction des inégalités,

  • la sensibilisation citoyenne,

  • le renforcement des liens sociaux de proximité,

  • la lutte contre les différentes formes du racisme,

  • l’expression libre et la participation active de tous citoyens à la vie commune,

  • la gestion de situations de crise (catastrophes), etc.

Les acteurs de la communication:

  • collectivités territoriales,

  • mairies, partis politiques, hommes/femmes politiques,

  • ONG, associations, syndicats,

  • église(s) et communautés confessionnelles

  • mouvements alternatifs, altermondialistes, ...

  • des associations et sociétés  spécialisées dans la conduite d’une campagne de communication sociale.

  • Des formations (universitaires)

Le support et le dispositif technique de la communication sociale: elle favorise :

  • le recours à des modes de communication plus directe et participative (réunions, défilés, spectacles « de rue», «jeux de rôles et de sociétés, simulations théâtrales, cabarets, «music hall», ...),

  • L’utilisation des selon l’expression d’H. Collet –« petits médias» (radioamateur, tracts, affiches, ...);

  • l’émergence de circuits « alternatifs» de communication en utilisant.

  • notamment les technologies audiovisuelles (radio, télé) sous forme  d’associations, de groupements indépendants, etc.

  • les technologies numériques (sites web associatifs,  téléphones mobiles, ...)

Différentes formes et ramifications de la communication sociale

  • Communication sociale au sens d’une communication à visée éducative: alphabétisation, compétences clés, éducation civique, éducation sociolinguistique

  • Communication sociale au sens d’une communication «alternative»: presse associative,  radio et télé associative, web associatif

  • Communication sociale au service d’une sensibilisation religieuse : cf. l’importance du concile Vatican II)

  • La communication sociale au sens d’une sensibilisation militante : Les actions en faveur d’une certaine idée politique, géopolitique,

Langue et civilisation (compétence sociolinguistique) et communication sociale:

  • « médiation linguistique et culturelle» de communautés d’immigrés (accueil, prise en charge, intégration, suivi, ...)

  • campagnes de sensibilisation culturelle et citoyenne, d’«acculturation» citoyenne de communautés d’immigrés, d’enseignement et d’ apprentissages des valeurs de la culture d’accueil, ...

  • Réciproquement: organisation de campagnes de sensibilisation culturelle à destination des communautés d’accueil, de la culture d’accueil

Communicateur social = Acteur du changement social

  • Un volcan d’idées (d’abord les idées) ;

  • Ouverture d’esprit ;

  • Autocorrection ;

  • Discernement ;

  • Raisonnement et argumentation.

PENSER - AGIR  - CHANGER

  • De l’assistancialisme à l’implication participative

  • Partir d’une analyse profonde des problèmes réels et de la situation qui doit être changée: Problèmes bien définis à Objectifs (globaux et spécifiques) à Résultats à Produits à Activités

  • L’importance de la base, déjà dans l’identification et  la définition des problèmes (Brainstorming à chaque étape)

  • Le changement n’est pas imposé d’en haut.

  • On ne peut changer qu’avec les personnes impliquées.

La communication sociale:

  • Informe

  • Eveille

  • Conscientise

  • Mobilise

Par :

  • Des interactions directes

  • Des réunions

  • Des conférences

  • L’animation socioculturelle

Petits médias (affiches, dépliants…)

Le changement efficace d’une collectivité est celui qui

  • se conçoit

  • se réalise         ensemble

  • se vit                

·Lien avec la dynamique des groupes

Apprendre à s’associer mobilise la conscientisation des savoirs en action qui permettent de croiser les connaissances et les expériences, de mettre en commun et de partager des pratiques : pour communiquer il faut savoir travailler sur les représentations, pour coopérer il faut savoir travailler sur les interactions sociales, ainsi que de choisir des principes d’intervention sociale et politique pour projeter des changements et pour conduire les actions. Apprendre collectivement suppose de supporter affectivement l’engagement et la mobilisation dans un groupe d’appartenance : accepter une dynamique identitaire pour élaborer l’action à plusieurs, pour accepter les questionnements critiques mutuels, pour oser être force de propositions et pour adhérer au projet co-construit. Les prises de décisions nécessitent de dialoguer dans le groupe : de ses pratiques, de ses légitimités, de ses statuts pour dire son point de vue, de ses peurs face au changement ou à l’implication dans des responsabilités, de ses ressentiments face au manque de reconnaissance.

La conduite de projets d'animation demande des savoir-faire d’analyse et de diagnostic pour identifier les dysfonctionnements, et pour percevoir les besoins : la demande sociale et la commande institutionnelle. Pour valoriser les potentialités et les identités, les compétences méthodologiques consistent à chercher, traiter et partager l’information, à exercer une pensée critique et créative pour prendre des décisions éclairées, à conduire un projet en planifiant et en évaluant grâce à une collaboration de groupe. Les valeurs de l’Éducation populaire s’incarnent dans une vie associative dont le type d’organisation est l’enjeu des intentionnalités éducatives et communautaires. Un collectif ou une communauté en apprentissage, ce sont des adultes et des enfants qui se côtoient dans un espace commun (équipement ou quartier), qui partagent des finalités et des intérêts et qui sont volontaires pour s’organiser autour d’un projet concret. La notion de projet est basée sur un besoin de savoir pour agir et partager : des savoirs pour être mobilisé dans le temps libéré et communautaire, pour pratiquer des compétences d'autogestion, et pour apprendre à conscientiser sa place au monde et renforcer son émancipation.

L’association peut être simplement un collectif pour mettre des intérêts en commun et qui sert à s’auto-organiser. Le collectif peut se satisfaire de ses activités pour se construire, avec des jeux et des stratégies en fonction des intérêts, des besoins de consommation et des opportunités de pouvoir.

·Intitule du cours : Animation socioculturelle

Animation : Le fait de donner vie, insuffler l’âme, éveiller l’esprit. Maintenir vif, en vie. L’adjectif socioculturel signifie  qui concerne une société et sa propre culture. La culture est un ensemble complexe qui comprend les artéfacts, les biens, les procédures techniques, les idées, les habitudes et les valeurs. La culture peut être entendue comme la façon de vivre d’un peuple, l’héritage social qu’un individu acquiert dans son groupe d’appartenance, la manière de penser, de sentir, de croire, la généralisation dérivée de l’observation des comportements, le dépôt du savoir possédé collectivement, l’ensemble de comportements standardisés au regard des problèmes qui arrivent, l’ensemble des mécanismes pour la régulation normative du comportement, l’ensemble des techniques pour s’adapter au milieu.

Animation socioculturelle est une science (qui fait partie des sciences sociales et humaines, et plus précisément dans le sillage de la communication sociale) dont le but est d’insuffler le changement social dans un contexte culturel précis d’une collectivité, d’un groupe ou d’une société donnée.

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Date de dernière mise à jour : 14/09/2022